La sensation jazz-funk Ghost Note, emmené par les explosifs ex Snarky Puppy Robert “Sput” Searight et Nate Werth aux percussions, a enflammé le Magic Mirrors de Tourcoing avec une performance explosive, mêlant jazz, funk, hip-hop et rythmes afro-cubains.

Le Magic Mirrors est vraiment une salle exceptionnelle : éphémère, boisée, ronde, parfumée, art déco… mais aussi une petite scène très chargée ce soir pour Ghost-Note. En effet c’est un octuor (si, ça existe), avec de gauche a droite : deux cuivres, trombone (Daniel Wytannis) et saxophone (Jonathan Mones), aux percussions derrière c’est Nate Werth, à la batterie et au micro au centre c’est Robert Searight, à la basse c’est Justin McKinney, à la guitare dans le fond Peter Knudsen se fait une place, devant lui aux claviers c’est Dominique Xavier Taplin, et enfin au chant c’est Mackenzie Green.

Ghost Note fusionne et experimente plusieurs genre, du funk au hip hop en passant par le jazz fusion. Fondés par l’ancienne section rythmique des Snarky Puppy, on a forcément droit à du funk qui prends aux tripes sans forcer, malgré une musique foisonnante.
Le public s’est déplacé en masse, jeune ou moins jeunes. C’est assez plaisant de voir des lycéennes et lycéens danser sur de la funk.

Ils ont joué leur dernier album “Mustard’n onions’ sorti cette année, que j’aurais aimé avoir plus écouté avant le concert pour en profiter davantage, mais c’est un ajout bienvenue dans ma discothèque (et pas que pour la musique, l’illustration est terrrible).

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